Si l’on en croit les histoires, nous avons maintenant la solution pour nourrir la population mondiale croissante : l’agriculture verticale, l’agriculture urbaine ou les usines à plantes. Ce sont tous des termes qui promettent des systèmes grâce auxquels nous pourrons produire suffisamment de nourriture, en toute sécurité et sans aucune difficulté. Tout cela se produit également juste au coin du consommateur.
Les investisseurs se bousculent pour avoir l’opportunité d’investir. Une start-up après l’autre se présente et prétend qu’elle peut tout faire de manière encore plus intelligente. Avec une formation de chercheur en agriculture sous serre et d’ingénieur logiciel et responsable R&D dans une entreprise qui développe des ordinateurs climatiques, je suis continuellement étonné par les histoires souvent unilatérales !
Cependant, avant d’aller plus loin, il y a la question de savoir de quoi nous parlons vraiment. CEA, fermes verticales, agriculture urbaine, fabriques de plantes, culture à l’abri de la lumière sont des termes souvent utilisés sans discernement. En fait, on ne voit plus le bois sur les arbres. Un terme qui a beaucoup circulé ces deux dernières années est CEA, agriculture en environnement maîtrisé. L’accent est mis ici sur le fait que (une partie de) l’environnement de culture est « contrôlé ». Les exemples incluent la culture sous un toit en plastique ou dans des serres en plastique ou en verre. La culture dans un environnement sans ensoleillement naturel est également classée CEA.
Voici une vidéo en anglais montrant l’agriculture verticale :
Le terme agriculture verticale est également largement utilisé. Cela implique de cultiver des cultures en plusieurs couches. Cela pourrait être dans un « laboratoire de plantes » sans lumière naturelle en utilisant une culture multicouche sur différentes étagères les unes au-dessus des autres. Mais faire pousser des cultures dans des « tours » verticales à l’intérieur d’une serre en verre ou sur un toit dans une mégapole est également appelé agriculture verticale.
Ensuite, il y a l’agriculture urbaine ou l’agriculture urbaine. Les systèmes de culture tels que ceux-ci sont souvent situés dans ou à proximité de la ville. Il peut s’agir d’une serre sur le toit d’un immeuble, d’une usine désaffectée ou même d’un ancien tunnel de métro. Dans le cas de l’agriculture urbaine ou citadine, il y a parfois une composante sociale en plus de la culture des cultures. Il pourrait s’agir, par exemple, d’offrir du travail à des personnes éloignées du marché du travail. Ou un moyen d’aider les enfants à apprendre comment les aliments sont cultivés.
Plein de systèmes différents avec des objectifs souvent très différents ! Le fait que le même terme soit également utilisé pour différents systèmes de culture n’aide pas à tout comprendre. Dans cet article, j’utilise le terme agriculture verticale pour faire pousser des cultures dans des systèmes sans lumière du jour.
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