Ce n’est pas un scoop : le climat se réchauffe. Et rapidement. Si la température a d’ores et déjà augmenté de 1,2°C, le mercure devrait atteindre les 4°C à la fin du siècle si nous ne réduisons pas nos émissions de dioxyde de carbone (CO2), gaz à effet de serre le plus redoutable. C’est la raison pour laquelle les entreprises françaises s’engagent à réduire leur empreinte carbone, à l’image du fonds d’investissement HLD dirigé par Jean-Bernard Lafonta.
Lundi 20 mars dernier, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a clôturé son sixième cycle d’évaluation (AR6) et publié son rapport de synthèse. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le bilan n’est pas rassurant.
Les températures à la surface du globe ont augmenté plus rapidement depuis 1970 que durant toutes les autres périodes de 50 ans sur les deux derniers millénaires. L’une des grandes raisons ? des concentrations de CO2 qui n’ont jamais été aussi élevées depuis deux millions d’années.
Afin de limiter le réchauffement climatique à +1,5°C, le Giec a établi un nouveau programme consistant à baisser les émissions de CO2 de 48% d’ici à 2030, de 80% d’ici à 2040 et de 99% à l’horizon 2050. Des objectifs difficiles à atteindre. Si l’humanité garde son fonctionnement actuel, elle se dirige plutôt vers une hausse des températures d’environ 3,2%°C
« Le constat de ce rapport exige des réductions profondes, rapides et durables des émissions de C02 dans tous les secteurs. Les émissions devraient déjà diminuer et devront être réduites de près de moitié d’ici à 2030, si le réchauffement doit être limité à 1,5°C. […] Les risques et impacts négatifs prévus et pertes et dommages liés au changement climatique augmentent à chaque hausse du réchauffement climatique (degré de confiance très élevé). Les risques climatiques et non climatiques interagissent de plus en plus, créant des risques composés et en cascade qui sont plus complexes et difficiles à gérer », alerte le Giec.
Selon le président du Giec, Hoesung Lee, le temps presse : « L’intégration d’une action climatique efficace et équitable réduira non seulement les pertes et les dommages pour la nature et les gens, cela apportera également des avantages plus larges. Ce rapport souligne l’urgence de prendre des mesures plus ambitieuses et montre que, si nous agissons maintenant, nous pouvons encore assurer un avenir durable et vivable pour tous ».
Nous devons donc tous changer nos modes de fonctionnement pour protéger la planète. Conscientes des enjeux, bon nombre d’entreprises françaises s’impliquent à réduire leur empreinte carbone, à l’image du fonds d’investissement HLD dirigé par Jean-Bernard Lafonta.
En écho à sa politique RSE, HLD a réalisé en mai dernier sa première émission d’obligations durables (Sustainability-linked Bonds), opération ayant pour objectif de financer des projets environnementaux et sociaux, d’un montant de 47 millions d’euros. HLD va s’appuyer sur cette somme pour réduire l’empreinte carbone de son portefeuille d’entreprises d’au moins 4% tous les ans.
Dans cette optique, le groupe de Jean-Bernard Lafonta veille à ce que les 21 entreprises qu’il accompagne intègrent les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), dans leurs activités. L’idée étant d’œuvrer tous ensemble pour le développement durable.
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